Premières expériences et engrenages : Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains
il y a 1 an

Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.

Le liquide s’écoula d’abord lentement, puis plus rapidement. Une cascade d’eau saumâtre et mousseuse sortit de mon être directement dans le seau positionné avec expertise. Même les valets s’étaient arrêtés de v i o l enter Lisa pour me regarder. L’action était tout aussi humiliante que la position jambes écartées et attachées à laquelle je ne pouvais remédier.

Deux ou trois fois je crus que j’en avais fini, mais quelques filets sortaient toujours de mon anus, devenu presque insensible à ce déversement. Plus assez pour que cela intéresse encore mes spectateurs, mais suffisant pour ne pas atténuer ma honte.

Les valets reprirent leur affairement sur la pauvre Lisa. Celle-ci se défendit. Profitant de leur distraction, elle réussit même à se redresser, hurlant, giflant. Mais elle était en face de cinq hommes qui reprirent vite le dessus sur elle.

  • C’était juste une pause, dit l’un des valets. Ce n’est pas fini.

Je crus reconnaître la voix de Sébastien. Le même ton détendu, presque insouciant, qu’il eut un peu plus tôt ce matin, quand, refusant de me contraindre et de me briser mon excitation, il m’avait laissé jouir dans la bouche du jeune homme.

  • Nous aussi, on va continuer, dit Lady Christine, alors qu’il apparaissait que je m’étais totalement vidé.

Elle me remit le tuyau presque sans que je ne le sentisse. Il était nettoyé, ou c’en était un autre. Elle le rebrancha au système sur un nouveau bocal vide. Je regardais avec plus d’intérêt le système qui s’adaptait si bien à mon trou du cul. Outre le robinet d’évacuation et l’aiguillage qui ouvrait le tuyau vers mon corps, il y avait une sorte de poire, de mécanisme que l’ingénieur, que je voulais devenir, présumât être une sorte de pompe manuelle, avec laquelle elles avaient poussé le reste du liquide jusque dans mon corps.

  • Qu’avons-nous là ? demanda Lady Christine en regardant les différents récipients. Peut-être que le soumis voudrait choisir ? me demanda-t-elle.

  • Qui a-t-il au menu ? demandai-je à mon tour avec l’assurance de Lassie, décontractée de me sentir vide, même si l’angle que formait mes jambes tendait à me donner des crampes.

  • Eau gazeuse, huile pimenté, thé chaud ou eau glacé. Il y a du choix, répondit Maitresse Diane.

Rien de tout cela ne m’intéressait. Froid, chaud, gazeux ou pimenté ! A choisir le chaud me paraissait la moins pire. Je sentais à quoi m’en tenir alors que la glace, les bulles ou l’huile m’inquiétait plus que le chaud.

  • Même si ce n’est pas l’heure, je serai tenté par une tasse de thé, répondis-je, me demandant après si je n’hériterai pas des trois autres en lieu ou en plus, comme quelques punitions.

  • Allons-y alors pour le thé, dit Tata Marguerite.

Lydia versa l’eau chaude et fumante dans le bocal. Je voyais la vapeur s’échapper du dessus du récipient, me faisant douter de mon choix. A nouveau Lady Christine ouvrit le robinet, évacuant la bulle d’air avant de le refermer quand le liquide atteint le niveau. Elle actionna la seconde manette et le thé remonta à l’intérieur de mon cul. Je ne sentis pas la chaleur. Pas au début, du moins. La température s’était dissipée en circulant dans le tuyau, le réchauffant, annihilant son effet refroidisseur sur les centilitres suivants. Moins d’une minute après, je commençais déjà à en ressentir les effets, et j’en transpirais.

J’entendis crier Lisa, mais malgré mon envie, je ne pouvais pas regarder ce qui lui arrivait. Mes maîtresses, alternativement tournées vers l’un de nous, ma cachaient la vue. Elles profitaient du spectacle tout en surveillant mon remplissage. Je vis juste Wallace s’essuyer la verge dans ses cheveux tandis que Sébastien, trouvant l’idée originale, en sélectionnait une autre mèche.

La chaleur emplissait peu à peu l’intérieur de mon corps, tandis qu’à nouveau mon ventre se dilatait.

  • Réfléchis déjà au troisième liquide que tu bénéficieras avant que nous allions déjeuner, me commanda Ladyscar.

  • Je ne comprends pas.

  • Tu va choisir un troisième liquide, un troisième bocal entre l’eau gazeuse et l’huile pimentée. On te l’introduira avant que nous sortions ensemble manger. Il est déjà midi, ajouta-t-elle en regardant le portable avec lequel elle prenait régulièrement des photos de moi.

  • Pourquoi plus l’eau glacé ?

  • Chaud et froid, ça ne va pas ensemble. Cela donne du tiède. Aucun intérêt ! précisa Lady Christine.

  • Vous allez l’ajouter au thé ? m’informai-je décontenancé.

  • Si tu as peur sur la contenance, je peux te dire que la bouteille d’eau gazeuse fait deux litres tandis que l’huile, un demi seulement. Alors après le litre de thé, c’est toi qui vois, me détailla Maîtresse Diane.

Le fait qu’elle le précise, m’indiquait qu’elle voulait que je choisisse l’huile. Pour m’opposer devrais-je alors préférer l’eau gazeuse ? Malgré le volume ? Cela aurait au moins l’avantage de refroidir plus rapidement le liquide, devenu brûlant et qui remontait en moi.

  • Avant que le thé ait fini de descendre, tu nous donneras ton choix. Je suppose que tu ne veuille pas les deux et encore moins, dans ton état, une nouvelle punition.

L’huile, je resterai sur l’huile. La douleur que me causais la chaleur n’était pas comparable avec cette envie de vomir que la dilatation de l’eau savonneuse m’avait causée. Surtout si nous devions nous déplacer.

Dilué avec le thé, je ne craignais pas le piment de l’huile. Je regardai le bocal de thé à moitié vide et décidai d’attendre que d’autres paramètres ne viennent pas modifier ma décision. Et si tu prenais les deux, me souffla Lassie, et la punition en prime. Tu ne voudrais pas gâcher le plaisir de tes maîtresses.

Celles-ci se déplacèrent pour regagner leur siège et de nouveau Lisa m’apparut dans mon angle de vision. Ils l’avaient mise debout et l’approchèrent à moins de deux mètres de moi, à mon attention si ce n’était à mon intention.

Le mexicain était cette fois derrière elle et agrandissait ce qu’Ahmed avait déjà élargi, la soulevant du sol à chaque fois qu’il se redressait. Dario avait son avant-bras enfoncé dans sa chatte gonflée et humide où une demi-douzaine de pinces lui mordaient les lèvres. Ces pinces, attachées à deux ficelles qui contournaient ses cuisses de chaque côté de son anatomie, lui étiraient les lèvres sur près de cinq centimètres.

Une barre, attachée à ses chevilles, lui écartait les pieds d’une distance supérieur au mètre, dans une position qui semblait plus tenir de la gymnastique que de l’érotisme.

C’est alors que je vis s’approcher Stéphane avec une sorte de prise électrique, disposée au bout d’un manche muni d’une poignée et d’un variateur. Il me la montra avant de la diriger vers les yeux de la bonne et la laissa glisser depuis sa poitrine vers son sexe.

Lisa se débattait. Il atteignit enfin le clitoris rougi et boursouflé que Dario avait laissé dans un état. Les deux pointes de l’objet, telles les dents d’un serpent, hésitaient à frapper dans une danse circulaire dirigée, sans jeu de mot, d’une main de maître.

Lisa, dont la bouche était maintenant dégagée, cria juste avant qu’il n’appuyât sur le bouton.

  • Non !
Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 99 : Attention aux fuites
Mmmmh ! Merci beaucoup ! Vivement la suite !!! 😃
j'adore ☺
vivement la suite , les aventure de Lisa et Lassie me manque déjà .
a dire vrais je prendrais bien la place de Lisa
La suite qui tarda sur https://fessestivites.com/recit/199358
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